Du chaos à l’ordre
Il suffit d’un instant : celui où l’œil s’arrête sur quelque chose qu’il connaît, qu’il re-connaît, qu’il peut nommer, qu’il comprend, qui n’est plus le chaos originel du bloc brut. Finalement
tout processus se caractérise par ce passage, du désordre à l’ordre, à quelque chose qui fait sens, qui donne du sens, avec lequel il est possible de poursuivre le chemin, même si ce chemin,
jusqu’au dernier moment peut prendre une direction nouvelle. Quelque chose d’intuitif comparable à un quatuor à 4 voix où tête, œil, main et cœur cherchent ensemble l’harmonie.